Il est tout naturel que Leroux et ses adeptes trouvant qu’il fallait en finir au plus vite avec tous les préjugés, toutes les divisions de caste et de propriété, croyant que « la voix du peuple » est bien vraiment « la voix de Dieu », puisque c’est aux hommes simples, aux consciences droites, aux volontés franches, aux cœurs spontanés, aux masses encore intactes et vierges, à la majorité enfin, que la vérité sera plutôt accessible, il est tout naturel, disons-nous, qu’ils aient accordé une attention toute particulière à tous ces poètes, écrivains et politiques sortis du peuple, qui semblaient être les représentants directs de ses aspirations, de ses opinions, de son esprit. Ou peut-être quelque voyageur ; ces gaillards-la sont si farceurs… Wright décrit, avec la même complaisance, le spectacle qu’offrent celles-ci à l’œil du voyageur. Nous nous adressons à des praticiens ; et cependant, en commençant cet ouvrage, nous considérons qu’il est important de dire un mot des Fonds de cuisine, dont le rôle est capital dans notre travail
France, né en 1494, mort en 1547, était fils de Charles d’Orléans, comte d’Angoulême, et de Louise de Savoie, arrière-petit-fils de Valentine de Milan. À peine sur le trône, il se mit à la tête d’une armée pour faire valoir les droits qu’il avait sur le Milanais comme issu de Valentine de Milan. Les Suisses, qui défendaient l’entrée de ce duché, furent taillés en pièces à Marignan (1515) ; la conquête du Milanais suivit immédiatement cette victoire. Sans doute il est difficile de le comprendre et d'y croire ; mais, enfin, pourquoi cette stupéfaction qui se manifeste à la mort ? Tuteur du fils de ce prince (Antiochus VI ou Antiochus Théos II) de 143 à 140 av. J.-C., il le fit périr et s'assit sur le trône à sa place, mais fut combattu sans relâche par Antiochus VII (Sidète), et réduit à se réfugier dans Apamée, où il se donna ou reçut la mort (133 av. J.-C.). FRANCK, famille d'artistes flamands au XVIe s., a produit plusieurs peintres distingués : d'abord les trois frères Jérôme, François et Ambroise, puis Sébastien et François le jeune, tous deux fils de François. FRANÇOIS D'ASSISE (S.), instituteur de l'ordre des Frères Mineurs, dits aussi Franciscains, né à Assise en Ombrie l'an 1182, m. en 1226, était fils d'un riche marchand nommé Bernardon
Ses ouvrages se recommandent par l'ordre, la clarté, l'exactitude et l'utilité pratique. Outre trois ouvrages relatifs à l'établissement dont il était fondateur, Francke a publié des Sermons et des Oraisons funèbres, Halle, 1727, in-fol. En 1221, S. François avait fondé en outre un Tiers-Ordre pour les séculiers qui voulaient prendre le cordon des Frères Mineurs; c'est de cet ordre que sortirent les Béguins ou Fraticelli, et les Picpuces, ainsi appelés du monastère de Picpus, près Truffe noire de Bagnoli Paris, où ils s'établirent. Outre l'ordre des Frères Mineurs, S. François institua en 1221 le Tiers-Ordre, association de séculiers qui s'engageaient à observer toutes les pratiques compatibles avec leur condition. Il rassembla bientôt autour de lui, à la Portioncule près d'Assise, de nombreux disciples, forma dès 1208 un ordre qu'il nomma par humilité les Frères Mineurs, et leur donna une règle qui fut approuvée en 1215 par le pape. Il entra à l'École polytechnique dès sa fondation, y devint répétiteur, puis examinateur, fut nommé en 1803 professeur de mathématiques à l'école centrale de St-Antoine (lycée Charlemagne), en 1809 à la Faculté des sciences de Paris, se vit en 1815 écarté de l’École polytechnique pour opinion politique, et consacra depuis tout son temps à l'enseignement de la Faculté et à des travaux qui ont popularisé la science
Sauveur sous la forme d'un séraphin crucifié; il se sentit au même moment comme percé de trous dans toutes les parties du corps où les clous avaient été enfoncés dans le corps du Christ, et il en conserva les cicatrices; cette vision lui fit donner le surnom de Séraphique. Il se rendit indépendant en 1748 ; il s'est placé en 1818 sous le protectorat anglais. Il fut d'abord destiné par son père à l'aider dans son commerce, et étudia dans ce but le français qu'il apprit si bien qu'on lui en donna le surnom de François, Fraîche Tuber Brumale nom sous lequel il est connu ; mais à l'âge de 24 ans il renonça à toute occupation mondaine, abandonna ses biens, fit vœu de pauvreté et se consacra tout entier à la prédication et à des œuvres pieuses. Même sous sa forme actuelle, la lettre à Berthollet pourrait presque être considérée comme une de ces merveilleuses improvisations dictées par un génie secret, au cours desquelles Ampère entraînait son auditoire suspendu à ses lèvres pendant des heures. Ses principaux ouvrages sont : Mécanique, 1800; Cours complet de mathématiques pures, 1810; Uranographie, 1812; Goniométrie, 1820. Il a aussi donné des Éléments de Technologie, de Dessin linéaire, de Géodésie, de Statique, une Astronomie pratique, a coopéré au Dictionnaire de Technologie et à l’Encyclopédie moderne
France, né en 1494, mort en 1547, était fils de Charles d’Orléans, comte d’Angoulême, et de Louise de Savoie, arrière-petit-fils de Valentine de Milan. À peine sur le trône, il se mit à la tête d’une armée pour faire valoir les droits qu’il avait sur le Milanais comme issu de Valentine de Milan. Les Suisses, qui défendaient l’entrée de ce duché, furent taillés en pièces à Marignan (1515) ; la conquête du Milanais suivit immédiatement cette victoire. Sans doute il est difficile de le comprendre et d'y croire ; mais, enfin, pourquoi cette stupéfaction qui se manifeste à la mort ? Tuteur du fils de ce prince (Antiochus VI ou Antiochus Théos II) de 143 à 140 av. J.-C., il le fit périr et s'assit sur le trône à sa place, mais fut combattu sans relâche par Antiochus VII (Sidète), et réduit à se réfugier dans Apamée, où il se donna ou reçut la mort (133 av. J.-C.). FRANCK, famille d'artistes flamands au XVIe s., a produit plusieurs peintres distingués : d'abord les trois frères Jérôme, François et Ambroise, puis Sébastien et François le jeune, tous deux fils de François. FRANÇOIS D'ASSISE (S.), instituteur de l'ordre des Frères Mineurs, dits aussi Franciscains, né à Assise en Ombrie l'an 1182, m. en 1226, était fils d'un riche marchand nommé Bernardon
Ses ouvrages se recommandent par l'ordre, la clarté, l'exactitude et l'utilité pratique. Outre trois ouvrages relatifs à l'établissement dont il était fondateur, Francke a publié des Sermons et des Oraisons funèbres, Halle, 1727, in-fol. En 1221, S. François avait fondé en outre un Tiers-Ordre pour les séculiers qui voulaient prendre le cordon des Frères Mineurs; c'est de cet ordre que sortirent les Béguins ou Fraticelli, et les Picpuces, ainsi appelés du monastère de Picpus, près Truffe noire de Bagnoli Paris, où ils s'établirent. Outre l'ordre des Frères Mineurs, S. François institua en 1221 le Tiers-Ordre, association de séculiers qui s'engageaient à observer toutes les pratiques compatibles avec leur condition. Il rassembla bientôt autour de lui, à la Portioncule près d'Assise, de nombreux disciples, forma dès 1208 un ordre qu'il nomma par humilité les Frères Mineurs, et leur donna une règle qui fut approuvée en 1215 par le pape. Il entra à l'École polytechnique dès sa fondation, y devint répétiteur, puis examinateur, fut nommé en 1803 professeur de mathématiques à l'école centrale de St-Antoine (lycée Charlemagne), en 1809 à la Faculté des sciences de Paris, se vit en 1815 écarté de l’École polytechnique pour opinion politique, et consacra depuis tout son temps à l'enseignement de la Faculté et à des travaux qui ont popularisé la science
Sauveur sous la forme d'un séraphin crucifié; il se sentit au même moment comme percé de trous dans toutes les parties du corps où les clous avaient été enfoncés dans le corps du Christ, et il en conserva les cicatrices; cette vision lui fit donner le surnom de Séraphique. Il se rendit indépendant en 1748 ; il s'est placé en 1818 sous le protectorat anglais. Il fut d'abord destiné par son père à l'aider dans son commerce, et étudia dans ce but le français qu'il apprit si bien qu'on lui en donna le surnom de François, Fraîche Tuber Brumale nom sous lequel il est connu ; mais à l'âge de 24 ans il renonça à toute occupation mondaine, abandonna ses biens, fit vœu de pauvreté et se consacra tout entier à la prédication et à des œuvres pieuses. Même sous sa forme actuelle, la lettre à Berthollet pourrait presque être considérée comme une de ces merveilleuses improvisations dictées par un génie secret, au cours desquelles Ampère entraînait son auditoire suspendu à ses lèvres pendant des heures. Ses principaux ouvrages sont : Mécanique, 1800; Cours complet de mathématiques pures, 1810; Uranographie, 1812; Goniométrie, 1820. Il a aussi donné des Éléments de Technologie, de Dessin linéaire, de Géodésie, de Statique, une Astronomie pratique, a coopéré au Dictionnaire de Technologie et à l’Encyclopédie moderne